


Mon père, Abel Leblanc, voyait Paris avec les yeux du cœur.
Il en capturait une lumière unique, une atmosphère qu’il savait particulièrement bien traduire sur la toile.
2025 l’année de l’Exposition universelle d’Osaka, dont le pavillon français porte un beau nom : « Pour l’amour de la France ».
Et puis, les Champagnes René Jolly y célèbreront vingt ans de présence au Japon…
Autant de raisons d’appeler cette capsule « Pour l’amour de Paris » !


Je me souviens de l’histoire qui se cache derrière ce tableau. Mon frère aîné, Bernard, étudiait alors à Paris et vivait à Montmartre, dans un quartier qui inspira de nombreux artistes !

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Lors d’un de ses séjours là-bas, mon père, inspiré par l’âme des lieux et la vie de son fils, a saisi ses pinceaux. C’est ainsi qu’est née cette œuvre, plus qu’une simple peinture : un instant de vie familiale suspendu dans la lumière parisienne.
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